Probablement entre 20.000 et 30.000 manifestant-e-s. Déterminé-e-s, mais pacifiques.
Une excellente ambiance, malgré les différences.
Et puis, une soixantaine (centaine ?) de casseurs-euses, venu-e-s pour pour détruire et discréditer. Détruire tout sur son passage. Discréditer la lutte contre un projet nuisible et inutile.
De nombreuses questions sont posées, notamment sur la « gestion » de cette manifestation par la préfecture. Nous n’en retiendrons qu’une : à qui profite le crime ?
Le billet de François Morel sur France Inter le 28 février 2014